
La chronique d’Audrey : jardinière urbaine qui rêve d’autosuffisance alimentaire.
Comment transformer mon jardin urbain en potager de ville voire en – jungle potagère ?
– Le petit potager d’Audrey, jardinière débutante très motivée, et Maman de deux enfants en bas âge – donc globalement épuisée, sauf au jardin !
Bonjour les Amish !
Voici mon grand défi :
« Je veux réussir à manger au moins un aliment par jour provenant de mon jardin chéri. »
Il peut être frais, sec, voire décongelé .
Je précise que je n’y connais rien en jardinage, ni en assemblage de planches ou de clous et que je dessine mal. Je suis par ailleurs plutôt douée en contemplation.
Je désire débuter au jardin donc, en étant super motivée pour faire pousser tout ce dont je rêve dans mes futurs carrés potagers. Les gentilles bestioles qui grouillent dans ma terre font déjà une bonne partie du boulot.
Aucun produit chimique n’ayant été utilisé depuis une bonne quinzaine d’années, je vise le bio très très local.
Je me vois déjà danser entre mes rangs de fruits et légumes, condiments et aromatiques toute l’année. Enfin presque, parce que les hauts de France c’est pas les suds de France !
En effet, la pluie n’étant pas timide dans ma région, j’imagine qu’en la récupérant de temps en temps elle m’aidera à maintenir un sol humide les rares jours de sécheresse.
Mon jardin étant déjà bien fleuri j’observe que « ça pousse bien » et que « ça se mélange bien ».
Cependant, il n’y a pas encore de quoi manger, mis à part deux beaux vieux poiriers bien taillés au fils des années – il faudra d’ailleurs que je suive les conseils de Thibaut pour les entretenir, merci les Groww copains !
Me voilà enfin d’attaque
Suivez cette chronique durant les prochaines semaines et je vous ferai partager les aventures de mon petit 100 mètres carrés de terrain au fil du temps.
Je vous raconterai ici les détails de mes réussites, échecs, astuces, expériences et questionnements.
Le tout avec photos à l’appui, histoire de se souvenir des saisons et de vous encourager à plonger les doigts dans la terre.
Car comme dirait Sigmund F. :
« J’ai perdu mon temps, la seule chose importante dans la vie c’est le jardinage ».

Et voilà mon jardin vivrier !